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Al Ansariya
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24 janvier 2009

Boycott!!! Va t on oublier nos frère et soeurs?

Assalamou alaykoum, bonjour,

cela fait qq jours que les troupes israelienne se sont retirées de la bande de Gaza mais l'histoire ne s'arrete pas là, alors je n'en n'avais pas encore parler sur mon blog mais dans la pratique al hamdulillah je fais tout mon possible pour boycotter les marques israelosionniste!

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Ne relachez pas vos efforts ! ce n'est pas en vain bien au contraire

voici une fatwa concernant le boycott

Le boycott des produits américains et sionistes

Fatwah du 4/9/1421 extrait du texte: "Les opposant croisé... vont ils vaincre?" de Cheikh Salman Ibn Fahd El Awdah


Un succès hors du commun : les alliés des sionistes réalisent que leur soutien à l'entité sioniste leur coûte cher et que la patience des Arabes et des Musulmans face à cette partialité est à bout.
Mardi 3 Ramadan 1421 EH, les ondes de la BBC annoncent que la chaîne de restauration Mc Donald's, rencontrant des déficits après l'Intifada, a fait don d'un riyal pour chaque menu vendu, à l'intention des hôpitaux d'enfants palestiniens.

La particularité qui frappe dans cette communauté, c'est son grand nombre et sa faible quantité qui est active. Ce nombre peut être exploité pour effectuer des tâches faciles, qui demandent un grand nombre de personnes et qui ne demande ni un effort ni un temps important. Les attaques des sites Internet juifs et leur destruction sont un exemple.

De même, le boycott des produits sionistes et américains sont un autre exemple. En été 1997, après un procès qui a duré quatre mois, la société Nike a présenté ses excuses aux Musulmans et a stoppé la vente de baskets où le nom d'Allah semblait apparaître et ceux-ci furent retirés du marché.

La société accepta de préparer et de financer des sessions de stages pour ses employés pour leur enseigner l'art et la manière de se comporter avec les Musulmans. De même, la société a promis de construire des jeux pour les enfants des Musulmans dans plusieurs villes d'Amérique. Depuis, un jeu a été construit.

Au mois d'Août 1999, et après plusieurs pressions de la part d'organisations islamiques et des pays arabes, la chaîne de restauration BURGER KING a annulé le projet d'inauguration d'un restaurant en Cisjordanie. L'AMJ, appuyée par le CAIR, a intenté un procès contre la société et a exigé la suppression de ce restaurant car il se trouve dans les territoires occupées. La société s'est soumise aux pressions mais elle n'a pas tenu sa promesse. Le boycott a été décrété contre elle une fois de plus et il a toujours cours.

L'arme du boycott économique est une arme efficace, qui a été utilisée depuis l'époque où on assiégeait les peuples jusqu'à nos jours, où la valeur économique est devenue de plus en plus importante.

C'est la raison pour laquelle les Etats-Unis se sont acharnés à anéantir la pratique du boycott des sociétés et des produits sionistes et des sociétés qui soutiennent l'état sioniste.

En effet, le boycott, populaire à ses débuts, perdit de son intensité pour n'être plus qu'un souvenir. Il semble qu'il est improbable qu'il reprenne de sa vigueur face à la mondialisation économique, qui a pour but de supprimer les frontières commerciales entre les états et en vertu duquel, aucun état ne peut servir ses intérêts nationaux .

Par contre, le boycott réalisé par le peuple, lui, peut porter ses fruits si les peuples musulmans prenaient conscience de son importance et que le consommateur choisissait les produits, les sociétés arabes et musulmanes ou bien n'importe quel autre produit qui ne soient ni américain, ni israélien.

Personne ne peut contraindre le simple citoyen à acheter un produit bien défini, ou soutenir une société bien définie ou mettre en vente les produits de telle fabrique.

Le combat de Ghandi (1869-1948), et son incitation au boycott des traditions et des produits européens par les Indiens de toutes factions ont contribué à porter leurs fruits : la Grande-Bretagne a retiré ses dernières troupes anglaises de l'Inde en 1947.

S'il est illusoire de croire que le boycott aboutira à l'effondrement économique de l'Amérique ou de l'état sioniste, nous pouvons certifier que les bénéfices réalisés par la plupart des sociétés et des associations régresseront quelque peu ou considérablement. De ce fait elles reconsidèreront leur position et elles seront contraintes de rechercher les causes et la façon d'y remédier, afin de sauvegarder leurs intérêts financiers, notamment si on sait que les gros bonnets dans ces états influencent grandement la politique.

Depuis le début de la campagne arabe de boycott des produits sionistes, des pertes estimées à 48 milliards de dollars ont été enregistrées.

Le 28 Chaaban 1421 EH, le journal Al Hayat a révélé dans sa rubrique économique que les déficits subis par les sociétés technologiques sionistes aux Etats-Unis, depuis le début de l'Intifada, se chiffrent à vingt milliards de dollars. Oui, je certifie ce chiffre exact : vingt milliards de dollars.

J'ai esquissé un sourire moqueur lorsque j'ai lu une remarque provenant de quelques frères en Egypte, il y a quelques semaines. Ils faisaient part de leur crainte des conséquences du boycott sur les Musulmans qui travaillent dans ces sociétés et qui sont susceptibles de perdre leur emploi..

Je me suis dit : il semble que le frère ait pris l'affaire au sérieux et qu'il soit pessimiste.

Mais quelques jours après, la société Sainsbury déclara qu'elle ne soutenait pas les Sionistes et des sources ont certifié que certaines de ces sociétés avaient enregistré 80 % de déficits en Egypte. Des journaux ont fait part du cri de secours lancé par les salariés de ces sociétés menacées par les licenciements, à cause du boycott.

L'Amérique, elle, pratique la politique du boycott ou ce qu'elle appelle les sanctions économiques à l'encontre de peuples entiers, provoquant ainsi leur mort et leur destruction, sans qu'elle n'éprouve une quelconque pitié ou compassion, sans que sa conscience ne soit tourmentées par la vue de ces enfants affamés, misérables.

Entre 1993 et 1996, l'administration américaine a utilisé 60 fois l'arme du boycott économique à l'encontre de 35 pays, parfois avec des preuves faibles à l'appui, servant des intérêts politiques. Dans son livre Les sanctions économiques et diplomatiques américaines, Richard Hass, révèle des informations intéressantes sur l'intérêt des sanctions et de leurs conséquences.

Pourquoi donc les Musulmans hésitent-ils à utiliser l'arme du boycott afin de produire quelques effets et afin que le Musulman prenne conscience au moins de son rôle à jouer, qui est peut-être limité mais à sa portée.

Le boycott fait partie de la désapprobation par le coeur ou par les actes ; il est facile à réaliser ; l'individu ne perd rien ; il suffit qu'il choisisse des produits arabes ou islamiques ou japonais ou même européens si le besoin se ressent.

Dans l'histoire de Thamama Ibn Athal, chef de la tribu des Béni Houneifa, la décision fut prise qu'aucun épis de blé ne parvienne au polythéistes de la Mecque, jusqu'à ce que le Messager d'Allah (pbsl) lève l'interdiction. (Al Boukhari 4024 et Muslim 003310). Le Prophète permit que leur soit approvisionné des grains après qu'ils se soient plaint à lui de la disette et de la famine.

Cet événement prouve non seulement la légitimité de l'utilisation de cette méthode mais également que l'Islam a fait preuve d'un grand humanisme et qu'il a gouverné le monde avec cette esprit pendant un laps de temps.

Afin que le boycott porte ses fruits, il faut :

multiplier les comités et les sites qui contribuent à revivifier, à organiser cette campagne; il faut que les Musulmans utilisent tous les moyens de communication disponibles, parmi ceux-ci, les sites Internet, les comités populaires et d'opinions juridiques, les déclarations, les notification, afin de s'informer des nouveautés et de s'assurer de la véracité des informations. Il faut absolument que des initiatives soient mises en place : des congrès et des comités spécialisés en Jordanie, au Soudan, au Liban, dans les pays du Golfe, etc.

que le peuple prenne conscience du devoir de boycott, de telle sorte que cette idée ne soit pas partagée uniquement par une élite particulière et que la masse soit écartée. Cette responsabilité incombe à tous : les jeunes et les moins jeunes, le lettré et le marchand de légumes. Le boycott ne sera réel que si la prise de conscience englobe tout le monde.

Il est important de remarquer que les avis juridiques appuient le boycott. Des savants émérites ont émis des avis qui vont dans ce sens. C'est une bonne chose que les assemblées juridiques, les organisations scientifiques, les comités des avis juridiques dans le monde islamique participent, et ce, afin que les gens comprennent que le boycott est une exigence religieuse et une nécessité nationale.

procéder par étapes car aux yeux de la masse, il est illusoire de se passer de tous ces produits ; la masse s'attache vite au confort et à l'aisance et est influencée par les avis qui vont dans le sens contraire. Il faut concentrer ses efforts dans les points suivant :

a- boycotter les sociétés et les produits sionistes, particulièrement dans les pays qui entretiennent des liens économiques avec Israël et dans les pays musulmans.

Il faut chercher à bien connaître ces sociétés en prenant connaissance des listes éditées par les comités responsables du boycott et des livres spécialisés, comme Le lobby juif de Nadim Abda. Il faut prendre en compte les informations récentes et ne pas se contenter des informations périmées.

b- boycotter les sociétés américaines soutenant l'entité sioniste ou sympathisantes avec les Sionistes, particulièrement les grandes sociétés auxquelles on peut trouver des substituts, comme dans le secteur de l'automobile, de l'alimentation, du prêt à porter, du mobilier, du cosmétique, dans le secteur de la banque, des médias, de la technologie..

Il faut que nous l'aidions à la remplir et que nous acclamions sincèrement le succès qu'il réalisera. Cette modeste contribution individuelle libérera la communauté. Sa conscience sera secouée par la volonté de répondre favorablement à cet appel et de participer à cet objectif. Enfin, ces brouhahas incompréhensibles se transformeront en un programme scientifique, effectif et raisonnable...


et voici le résultat

Le boycott des produits israéliens commence à porter ses ... fruits !

Publié le 16-01-2009

"Les cultivateurs de fruits d’Israël ont noté des reports et des diminutions de commandes étrangères depuis que l’opération
militaire de Gaza a été déclenchée, à cause des diférents boycotts contre les produits israéliens.


Les fermiers disent qu’une grande partie de leur production restera dans les entreprôts à cause des lettres d’annulation, et craignent une chute record de l’exportation de fruits vers les pays tels que la Jordanie, la Grande Bretagne, et les pays scandinaves.


« Nous exportons des kakis, et à cause de la guerre un certain nombre de pays et de distributeurs ont annulé leurs commandes », a déclaré sur Ynet (Yneetnews : journal israélien sur le Net N.d.T.) Giora Almagor, qui vit dans le sud de la ville de Bizaron. Il a dit que certains de ses produits étaient déjà embarqués et que d’autres sont en attente de chargement dans les entrepôts.


Almagor a dit que de nombreuses annulations venaient de Jordanie. « La production reste emballée dans les entrepôts, et nous cause d’énormes pertes » a-t-il dit.


« Plus les fruits attendent dans les entrepôts et plus ils perdent en qualité.
Nous devons aussi payer la réfrigération de la marchandise en attente, et ce coût est considérable », a-t-il ajouté.


Ila Eshel, directeur de l’Organisation des Cultivateurs de Fruits d’Israël a déclaré que les pays scandinaves ont eux aussi annulé leurs commandes.


« Ce sont principalement la Suède, la Norvège et le Danemark , a-t-il dit « En Scandinavie c’est une tendance générale, et ça pourrait entraîner une réaction en chaîne, alors que le boycott était inexistant avant l’offensive de Gaza".

« Ca devient de pire en pire, et de plus en plus de voix se font entendre qui appellent au boycott des produits israéliens » a-t-il dit. « Jusqu’au début de l’opération, nous faisions d’excellentes affaires malgré la récession économique qui, en Europe, a provoqué une légère chute du marché ».

Il a ajouté que l’hiver est une saison particulièrement difficile pour l’export de fruits, parce que le marché des avocats, des kakis et des citrons est à son plus haut."

Yair Hason

Ynet 16/1/09

http://www.ynetnews .com/Ext/ Comp/ArticleLayo ut/CdaArticlePri ntPreview/ 1,2506,L- 3656454,00. html


(Traduit par Carole SANDREL pour CAPJPO-EuroPalestin e)
CAPJPO-EuroPalestin e)

ET VOUS OU EN ETES VOUS?

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